Relations Presse : ne faut-il jurer que par le format tribune pour faire valoir ses opinions ?

S’il y a bien un contenu dont la popularité ne faiblit pas avec le temps, c’est la tribune. Et son succès n’a rien d’anodin : pour les entreprises, elle est souvent perçue comme une vitrine prestigieuse de l’expertise métier ou de la connaissance sectorielle. Pour les agences, elle permet d’occuper l’espace médiatique tout en renforçant l’autorité et la légitimité de son client. En principe, la tribune symbolise le baptême du feu pour toute marque qui s’ouvre aux Relations Publiques. En réalité,  elle est (aussi) une caresse à l’égo de celui ou celle qui la signe. 

Ces attributs font de la tribune un format très investi et la désigne spontanément comme le joker à exploiter pour déclencher la notoriété. Or, comme dans toute pratique communicationnelle, rien n’est jamais aussi simple.  

Sans nul doute, la tribune continuera d’être un exercice concluant pour les acteurs qui portent une vision singulière et stratégique sur un sujet donné. Mais elle reste un outil au service d’une pensée construite, qui ne dispose pas du monopole de l’opinion. Il y a tant d’autres chemins pour partager sa voix, qui par ailleurs peuvent rapprocher plus encore les marques de leurs audiences. Les “3 Questions à un Expert”, les participations à des tables rondes, à des podcasts, les interviews Grand Format, sont autant de moyens d’entrer en conversation avec les prescripteurs d’opinion. Mais les outils restent des outils : autant la science sans conscience n’est que ruine de l’âme, autant l’opinion sans substance n’est que perte de temps (et de crédibilité). 

Sortez des sentiers battus, et tentez de nouveaux formats réputationnels avec La Nouvelle Agence !